Georges Braque Ou Le Temps Different

a look at the music of Vangelis Papathanassiou

Introduction
"Georges Braque ou le temps différent" is one of the many documentaries that Frédéric Rossif made about influential painters. Actually it is this documentary that is often referred to as one out of three parts in a documentary-series about painters, "Cantique des créateurs", the other parts being Georges Mathieu ou la fureur d'être (1971) and Pablo Picasso peintre (1981). The title "Cantique des créateurs" however is kind of a mystery to me, as there are also references to it that imply it is a separate documentary alltogether.

Georges Braque (1882 - 1963) is a distinguished French painter mostly known for his invention of Cubism, together with Pablo Picasso. His first influence Fauvism, combined by the work of Paul Cézanne gradually made him to reduce structures to rectangles, or cubes, a technique also adopted by Pablo Picasso. After the First World War, which left Braque severely wounded, he developed a more personal and colorful style.

Other art-based documentaries by Frédéric Rossif that Vangelis provided a musical score for include Georges Mathieu ou la fureur d'être (1971), Au pays des visages (1972), Pablo Picasso peintre (1981) and Morandi (1989).

Details and Credits
Georges Braque ou le temps différent (France, 1974) 16 mm color
Length: 76 minutes

Directed by: Frédéric Rossif

Music by Vangelis Papathanassiou
Text by Jean Lescure
Dialog by Suzanne Flon and Pierre Vaneck
Cinematography: Jean Tournier and Bernard Zitzermann
Sound engineers: Harrick Maury and Pierre Boucat
Montage: Geneviève Winding
Assistent montage: Gisèle Chezeau

Producer: Michelle Wiart
Assistent producer: Jean-Charles Cuttoli and Thierry Nahon
Produced by Télé Hachette and Bayericher Rundfunk

Media
Unfortunately "Georges Braque ou le temps différent" has never been released in any format after its original production in 1974.

 

Synopsis
(in French) "Peut-être est-ce le propos de Braque rapporté ici "je ne suis pas un révolutionnaire, je ne cherche pas l'exaltation mais la ferveur" qui a poussé Frédéric Rossif à axer son film sur l'opposition d'une oeuvre qui prend le temps qui est celui de la création mis en antagonisme avec l'Histoire qui dévore le temps avec les guerres, les crises idéologiques, les conflits sociaux. Si ce postulat est contestable - le cubisme est la remise en cause absolue de l'art, Braque fera la guerre de 1914, même involontairement et il en reviendra à demi-mort,... - le film apporte de précieux documents et témoignages. L'Estaque, d'abord, où il "invente" le cubisme, des détails signifiants de sa vie quotidienne : il aimait la boxe, le cinéma, le vélo, les voitures, la rigueur et la rapidité (voir les témoignages de sa servante Mariette) chanter avec sa femme. Des éléments de son travail : on le suit dans son atelier, dans ses gestes, dans ses hésitations. Des propos critiques : Jean Paulhan et l'invention du premier papier collé, le commentaire de Jean Leymarie sur les "billards". Bref, un film plein de qualités qui dit beaucoup de choses sur un peintre mais le met dans une perspective qui n'était peut-être pas la sienne. Il disait simplement : "Comment me serais-je trompé ? Je ne savais pas ce que je voulais"."

 

 

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