Introduction
Until it's publication in 2011, very little was known about this film by Henry Chapier.
It turns out to be a documentary about Israel and the people of Jerusalem. It is unclear if "Salut, Jerusalem" ever played
in film festivals or
cinemas, perhaps it was produced for TV broadcast only. Fact is that in 2011 the
documentary was made available for the first time since it's production on
French website Ina.fr.
With no soundtrack release, the only way to hear Vangelis' original score is
to watch the documentary itself!
Details and Credits
Salut, Jerusalem (France, 1972)
Length: 72 minutes
Released in France: June 6th, 1972
Directed by: Henry Chapier
Scenario: Henry Chapier
Cinematography: Anne de Gasperi and Willy Kurant
Music: Vangelis Papathanassiou
Produced by Les Films Marceau (Paris) and Filmsonor
Producer: Paul Veillon
Cast
Media
It took almost 40 years after the original production for "Salut
Jerusalem" to
be published, thanks to INA.fr! The film
can be ordered online, for download or DVD print.
Hopefully this publication is the prelude to an official DVD release, as
previously happened with "Sex Power".
Recording Studio
The music for "Salut Jerusalem" is recorded at Europa
Sonor Studio in Paris, France. This is the same studio where also the albums "666"
(Aphrodite's Child), "Fais
que ton reve soit plus long que la nuit" and "Earth" are recorded.
Synopsis
(in French) "Ce documentaire a pour sujet et pour inspiration la
terre d'Israël, ses citoyens et son lien avec l'identité hébraïque. Le film commence par un préambule de Joseph Kessel :
évocations de souvenirs de jeunesse, contemporains du rêve sioniste et récit de
son premier voyage en Israël. Puis, le film s'ouvre sur une évocation de la
Genèse (survol du Mont Sinaï, rappel du buisson ardent, silhouettes des
patriarches et des Apôtres). On plonge ensuite dans le décor de la Judée : comme
au temps des Prophètes, des pèlerins montent vers Jérusalem, sur le pas des
Zélotes, des Macchabées ou des Apôtres, pour oublier toutes les querelles de
race, de nation ou de religion. Ce sont douze personnages, prêtres, hippies ou
anarchistes à la recherche d'un oasis de Paix. Ils symbolisent les douze tribus
d'Israël, ou les douze Apôtres. La découverte d'Israël commence le jour du Grand
Pardon, où la vie du pays s'arrête : les adultes sont dans les synagogues, les
rues désertes sont abandonnées aux jeux des enfants. Après l'évocation du rituel
des fêtes juives, le film retourne à la Judée de la Bible : celle où la vigne,
le troupeau, l'eau, le puits ont conservé le caractère primitif et intimiste de
jadis. A l'écart de la technologie du XXe siècle, Arabes et Bédouins respectent
leurs traditions millénaires ; ce sera la deuxième étape de nos pèlerins :
Jéricho. Abandonnée d'une manière tragique tant de fois au cours des siècles, la
ville est un symbole d'espoir effaçant le souvenir de tous les exodes. Dimona.
Reportage sur les Hébreux noirs, venus d'Amérique, à travers le Libéria ;
revendication forcenée de l'identité hébraïque. Le périple continue jusqu'à
Jérusalem où l'on arrive pour la communion des garçons, cérémonial archaïque. Le
pèlerinage reprend vers le Monastère de Saint-Sava, dans le désert, où retentit
toujours la rage des Prophètes. C'est aussi la découverte de Neveh-Shalom,
future communauté de trois religions où l'on construit la ville où Juifs,
Chrétiens et Musulmans vivront ensemble. Scène de repas des Apôtres et arrivée
au bord du Jourdain, où des Noirs reçoivent le nouveau Baptême. Le film se
termine sur une vision de la Jérusalem Céleste, terre où l'espoir d'une vie
nouvelle est encore possible. "
Movements